Présentation de Kalma

Mon histoire... Commence sans doute ce jour là, quelques mois après mes 5 ans. Mais pour bien comprendre ce jour, il faut tout de même savoirs deux trois petites choses à propos de mes parents.
Ils étaient tout deux des démons, aussi cruels et irresponsable l'un que l'autre. Il s'adonnaient souvent aux plaisirs du sexe, sans faire attention à quoi que ce soit, et ma mère finit par tomber enceinte. Le seul hôpital valide se trouvant dans les terres de Rakuen, elle n'a pas fait de démarches d'avortement... Elle risquait d'y perdre la vie, si elle faisait confiances aux quelques personnes se rapprochant du métier de médecin à Yomi. Ce qu'elle avait oublié... C'est que l'accouchement n'était pas plus sur, bien au contraire. Lorsque je vint au monde, elle périt, mais cela n'étonnera personne si je dis que mon père n'en a pas souffert. Il a vite recommencé sa vie de débauche, me nourrissant de temps en temps, juste assez pour que je me maintienne en vie. Mais pour une personne telle que lui, un enfant se révèle vite être un handicap sérieux. Il aura tout de même tenu 5 ans, avant de me vendre comme esclave a de vieux acheteurs vereux.
Ma vie ne devint pas plus un enfer qu'avant, je fus renommée Kalma, oubliant alors mon ancien nom... A considéré que j'en ais un jour eus un. Kalma, c'est le nom d'une déesse de la mort, les marchands avaient déjà choisis quel serait mon avenir : combattre en arène pour le plaisir des démons, et même parfois des humains. Les années passèrent, entre entraînement, combats, et coups de fouet, mais j'avais presque l'impression que cette vie était normale.
Malheureusement pour mes chers acheteurs, le métier qu'ils faisaient n'était pas sûr. Vers mes 24 ans, un groupe de marchands ennemi vint attaquer de nuit, ce fut extrêmement rapide, mais pas assez pour que je ne puisse fuir. J'étais poussée par cette seule volonté de vivre, seule chose peut-être encore qui animait mon corps et mon âme, ma fuite fut longue, je voulais aller le plus loin possible d'eux, il ne fallait pas qu'ils me trouvent. Mes pas, au fur et a mesure des jours, me conduisirent aux portes de Rakuen, devant lesquelles je finit par m'effondrer, de fatigue, de faim et de soif.
Les anges... Sont des créatures que je ne comprend toujours pas. L'un d'eux ce jour l'a m'a recueillie, sans même savoir qui j'étais, sans connaître mes intentions... Si ce n'avait pas été lui, sans doute un autre en aurait fait de même... Il semble que ce soit dans leur nature, d'être si insouciant et aimable. Grâce à lui, j'ai pu découvrir autre chose... Autre chose que le sang et la mort, quelque chose de beaux, d'agréable, qui rend heureux et efface les coups et les pleurs en des caresses et des rires. Deux ans après, j'ai décidé de vivre seule, je lui avais déjà prit bien assez, et je me suis engagée dans l'armée. Je voulais me rendre utiles et surtout détruire cette région dans laquelle j'avais vu le jour, et rien de tel pour cela que de combattre, aux cotés des anges, pour ma vengeance et pour remercier toutes ces personnes qui, ici, m'avaient accueilli et fait découvrir tellement de choses différentes, agréables, douces...

Malgré ma position dans cette guerre, j'ai gardé des côtés de ma personnalité 'démoniaque', je suis orgueilleuse, jalouse, impulsive, et même parfois prétentieuse. Je prend un certain plaisir à voir le sang couler. J'essaye tout de même d'être un minimum sociable, et de ne pas déranger les autres, bien que souvent cela s'avère difficile.

Apparence :
Mes yeux sont oranges et mes cheveux blonds clairs, ce qui ne me donne pas trop l'apparence d'un démon. Mon corps est plutôt musclé, grâce aux entraînement subit dans mon enfance, sans pour autant que je ne ressemble à une armoire à glace. J'ai un style vestimentaire plutôt... étranger aux terres de Rakuen, du moins en générale. Je porte généralement une veste en cuir ouverte, sans rien en dessous, même pas un soutient gorge, mais je m'arrange pour que la veste cache ma poitrine, enfin quand je le peux du moins. Avec ça, je porte souvent un jeans foncé taille basse et collant, ainsi que des chaussures à talons noires, avec lesquelles j'ai appris à bouger avec aisance, même pour combattre ou courir.